La Rue Râle a dix ans. Ce Festival commencé à Soudan un soir de neige, rassemblait à l’époque quelques dizaines de spectateurs. Et on ne pariait pas qu’il serait toujours debout aujourd’hui. Des années ont passé et des gens ont remplacé d’autres gens. C’est toujours l’Association La Mée ça Gère qui organise ce rendez-vous de Printemps sous les platanes de l’esplanade du château de Châteaubriant.
Elle reçoit le soutien de l’Arcel, association de St Aubin qui œuvre dans le son, l’enregistrement de groupes et de régie son de scène.
La Rue Râle 2019, c’est vendredi 5 et samedi 6 avril.
La rue Râle un festival populaire
Puis Ma Petite, une formation de Parthenay aux accents trad’. Les textes parlent notamment des rivages vendéens, Noirmoutier, Barbatre, …mais méfiez-vous. Le tout s’agite autour d’un saxo, de percussions, de deux accordéons et des voix très actuelles.
Samedi 6 avril, dès 15 h, le public peut découvrir les produits de la région de Châteaubriant. Des artisans, et des producteurs locaux avec des produits bons et beaux. Les enfants ne sont pas oubliés. Animations, concerts, manège et un goûter pour que la fête n’oublie personne.
Samedi soir, à partir de 20 h 45, c’est du gros son sur la scène avec Fonky Nyko, du son qui fait du bien. Yoni et l’Autre Guitariste, Purpulse. Et Johnny Mafia, un groupe de Sens, qui n’en n’a pas.
Et pour ceux qui ne se seront pas transformés en citrouille passé minuit, Gildas Pulsatone, ses pads et ses bonnes vibes.
La Rue Râle se veut un évènement populaire pour fêter le Printemps. On y vient en famille, seul(e) ou entre amis.
Restauration rapide de bons produits locaux sur place.
Qui a dit qu’à Châteaubriant il ne se passait rien ?
La Rue Râle a dix ans
Vendredi 5 et samedi 6 avril 2019
Esplanade du château
Châteaubriant
Vendredi 5 avril. Juste à partir de 19h 30, un apéro concert au Bar d’en Face avec des ais de Guinguette pour que le Printemps soit beau.
Jeudi 4 avril, à 21 h, Concert de préchauffage à La Charrue, Bar branchouille du cœur de ville de Châteaubriant avec Jumaï.
