Laurène Pierre-Magnani se produit sur la scène Jeunes Talents Jazz en L.A. Et du talent, elle n’en manque pas, Laurène. Bassiste, chanteuse, batteuse, elle est également à l’aise avec les machines.
On l’a vue, mercredi soir, à Saffré, avec un cœur de femmes et d’hommes, dans la formation Sunship Troopers de Guillaume Hazebrouk.
Elle se produit, ce samedi, toujours avec le même Guillaume Hazebrouk, scène Sully, à 16 h, dans En toute pyromanie
Projet solo de la chanteuse Laurène Pierre-Magnani, investie dans une foule de projets, Al Ghar — “le laurier” en arabe — assemble des chansons suspendues entre la basse et la voix, imprégnées de soul, de poésie et de musiques d’ailleurs. Ses boucles au looper et sa touche de percussions dessinent un live hybride et nourri d’improvisation, qui la placent quelque part entre Sandra Nkaké et Leïla Martial. Écrits dans plusieurs langues, les textes léchés dévoilent un univers têtu, conscient, amoureux, marqué par son métissage.
Laurène Pierre-Magnani : chant, basse, machines
A 19 h, Scène Jeunes Talents Jazz en Loire-Atlantique.
Photo © Joachim Sontag, dessin : Q’Amar Nmr.
