Châteaubriant : Concours Photo cet été. La Ville de Châteaubriant organise un concours-photo gratuit sur le thème « Châteaubriant, ma ville change », du mardi 13 juillet au dimanche 5 septembre 2021. Amateurs ou professionnels, venez photographier les évolutions urbaines de Châteaubriant, et envoyez votre plus beau cliché. Le sujets ne manquent pas. Nous vous en proposons quelques uns.
C’est prendre un risque énorme, tant on voit la ville de Châteaubriant se dégrader de jour en jour. La municipalité et la communauté de communes, dirigées par les mêmes personnes ont beau investir à coups de millions de subventions, c’est à dire l’argent du contribuable, rien n’y fait.
Le Fait du Prince
Il n’est pas un endroit de la ville qui a été réfléchi, pensé pour l’utilisateur final. Les directeurs des services techniques défilent, tellement ils sont peu écoutés. Il faut obéir à des ordres assez débiles. Faire et défaire au bon vouloir du Prince.
Circuler à vélo à Châteaubriant est devenu dangereux, mais être piéton n’est guère plus enviable. La législation concernant la circulation sur les trottoirs n’est jamais respectée. Il suffit d’être dans les petits papiers du maire pour étaler sa terrasse. Les autorités françaises ont fixées les dimensions réglementaires suivantes : la largeur minimale des cheminements et des trottoirs doit atteindre 1,40 m. A Châteaubriant, c’est élastique. Alors que des établissements bénéficient de terrasses déportées, ils empiètent également sur le trottoir. La loi oblige un passage libre d’au moins 1,80 m de large pour les piétons. Ceci n’est jamais respecté.
A Châteaubriant, on se fiche des handicapés
Aujourd’hui c’est un sale temps pour les personnes handicapées qui sont très mal accueillies à Châteaubriant. Outre le fait que les contrevenants des places réservées aux handicapés ne sont jamais inquiétés, c’est un vrai parcours du combattant que de circuler en ville lorsque l’on est une personne âgée ou à mobilité réduite.
Place de la Motte, en cœur de Ville de Châteaubriant, devant la pharmacie, une place pour personnes handicapées et un passage protégé. On imagine une personne en fauteuil roulant qui traverse et se retrouve dans un fossé de débris de palis. Quand va-t’on cesser de financer ce genre de débilités ?