Châteaubriant

Louise Violet à Émeraude Cinémas

Dans un dix-neuvième siècle rural sur les débuts de l'instruction en France et les réticences rencontrées.

Louise Violet à Émeraude Cinémas de Châteaubriant.  Un film réalisé par Eric Besnard. Avec Alexandra Lamy, Grégory Gadebois, Jérôme Kircher. Drame historique / Durée 1 h 48.

Les horaires des séances et le programme d’Émeraude Cinémas Châteaubriant.

1889. Envoyée dans un village de la campagne française, l’institutrice Louise Violet doit y imposer l’école de la République (gratuite, obligatoire et laïque). Une mission qui ne la rend populaire ni auprès des enfants… ni auprès des parents.

Louise Violet à Émeraude Cinémas

Le tournage débute fin février 2023 au Puy de Sancy, dans le Puy-de-Dôme. puis à Saint-André-de-Chalencon, dans la Haute-Loire, où se trouve non loin le pont du Diable. Il a également lieu à Tiranges pour une ancienne ferme de « Cerces »18, dans les monts de Cézallier et à Saint-Pierre-du-Champ. Le tournage s’arrête en mars pour revenir en mai aux mêmes endroits. Les prises de vues prennent fin le 24 juin 2023 à Saint-André-de-Chalencon.

Début novembre 2022, Alexandra Lamy et Grégory Gadebois, ce dernier retrouvant le réalisateur pour la troisième fois après Délicieux (2021) et Les Choses simples (2023), pour interpréter les rôles principaux, l’institutrice et le maire du village.

« Pour Louise, je voulais quelqu’un qui symbolise l’institutrice : sympathique, empathique et issue de la société civile. Alexandra Lamy cochait toutes les cases15. (…) Je ne savais pas au départ que le rôle de Louise serait tenu par Alexandra Lamy mais j’ai écrit pour Grégory Gadebois et pour Jérémy Lopez. Deux acteurs avec qui j’avais déjà travaillé deux fois. » explique Éric Besnard, le réalisateur de Louise Violet.

« J’avais envie d’aborder le concept de République. Qui dit République dit troisième République, et qui dit troisième République dit éducation, un thème qui m’est cher depuis longtemps. L’idée de faire un film sur l’école de Jules Ferry, puis sur les premières institutrices envoyées dans les campagnes à la fin du 19e siècle et projetées dans un monde d’hommes, est née ainsi. Cette opposition, la rencontre entre deux mouvements, l’un progressiste, et l’autre conservateur, était intéressante. »

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